Lorsqu'on
évoque Claudius de Cap
Blanc il faut bien
évidemment parler d'un
vrai poète et non comme il
l'écrit si bien de ces
"versificateurs de salon qui
chas-sent leur mortel ennui comme
il le peuvent à polir des
mots creux..."
avec
ce brin de modestie qui sied aux
grands hommes:
"Ce
que j'aime chez Dostoïevski
c'est que les trois quarts du
temps je ne comprends rien
à ce qu'il dit, il demeure
aussi impénétrable
que bon nombre de vulves tant
convoitées mais jamais
conquises"...